Chemin Bas d’Avignon, Pissevin, Valdegour, Mas de Mingue,…
De nombreux quartiers Nîmois sont devenus des zones de non-droit, gangrenés par le trafic de stupéfiants et la violence.
C’est aujourd’hui toute une ville qui se retrouve touchée.
Face à cela, le président de la République, le gouvernement et Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, ne semblent pas réagir et prendre la mesure de la gravité de la situation.
Député d’opposition, Yoann Gillet a, à maintes reprises, interpellé le gouvernement sur ce sujet.
« Lâche, le gouvernement ne semble pas décidé à régler les problèmes. Pire, il les laisse se reproduire dans de plus en plus de quartiers français devenus des zones de non-droit. Mais il n’y a pas de fatalité » souligne le député.
Avec Marine Le Pen, Yoann Gillet propose :
•Le rétablissement des peines planchers pour que tout criminel ou délinquant soit certain d’être sanctionné.
•La suppression de toute possibilité de réduction et d’aménagement de peine, en particulier pour les violences contre les personnes.
•L’établissement d’une perpétuité réelle.
•Le retour au pays des étrangers condamnés, ce qui permettra qu’il n’y ait plus d’amalgame entre les étrangers honnêtes et ceux qui pourrissent la vie de nos quartiers.
•La construction de 20 000 places de prison.
•L’accélération des procédures judiciaires en engageant le doublement du nombre de magistrats.
•L’inscription au fichier des délinquants sexuels des harceleurs de rue.
•La mise en place d’une présomption de légitime défense pour les forces de l’ordre.
Yoann Gillet, député de Nîmes, invite les Nîmoises et les Nîmois à eux aussi exiger du gouvernement qu’il agisse enfin.
Il lance à cet effet une pétition sur www.securite-nimes.fr. Cette pétition sera par ailleurs diffusée à travers plus de 20.000 tracts qui seront distribués à Nîmes, à partir de ce week-end.