3 ans après les faits : Justice est donc rendue.
Mes agresseurs ont été condamnés pour deux d’entre eux à un an de prison ferme, avec possibilité d’aménagement via un bracelet électronique.
Je me félicite de la prononciation de condamnations.
Élu député depuis mon agression, je souhaite par ailleurs travailler à l’Assemblée Nationale sur l’impossibilité d’aménager les peines de prison ferme dès lors que la condamnation résulte de violences physiques.
Les français réclament à juste titre une justice ferme. Les agressions violentes sont malheureusement le quotidien de nombreux français et il convient de travailler à une justice réellement dissuasive.