Alors que la ville de Nîmes est confrontée depuis des années à une situation sécuritaire délétère et que ces derniers mois ont été marqués par de nombreuses fusillades, la ministre Sabrina Agresti-Roubache s’est livrée ce matin à ce que sait faire de mieux le gouvernement : une séance de pure communication et une autocongratulation déconcertante.
En effet, la ministre, aux côtés du Maire de Nîmes, a signé le contrat de sécurité intérieur (CSI), liant différents partenaires. Un « bout de papier » qui ne changera rien à la situation tant il ne fait état que de mesures organisationnelles et de mesurettes purement conjoncturelles.
Alors que la ville de Nîmes fête son triste 10ème anniversaire d’augmentation de l’insécurité, le gouvernement prouve une fois de plus qu’il n’a pas la volonté de mettre en place des mesures structurelles pouvant permettre une lutte efficace contre la criminalité, la délinquance et le trafic de stupéfiants.
La situation actuelle n’est pas une fatalité.
Les mesures proposées par le Rassemblement National, permettraient d’en finir avec les zones de non-droit qui pullulent à Nîmes et partout en France.
Avec Marine Le Pen et Jordan Bardella, le Rassemblement National propose :
•Le rétablissement des peines planchers pour que tout criminel ou délinquant soit certain d’être sanctionné.
•La suppression de toute possibilité de réduction et d’aménagement de peine, en particulier pour les violences contre les personnes.
•L’établissement d’une perpétuité réelle.
•Le retour au pays des étrangers condamnés, ce qui permettra qu’il n’y ait plus d’amalgame entre les étrangers honnêtes et ceux qui pourrissent la vie de nos quartiers.
•La construction de 20 000 places de prison.
•L’accélération des procédures judiciaires en engageant le doublement du nombre de magistrats.
•L’inscription au fichier des délinquants sexuels des harceleurs de rue.
•La mise en place d’une présomption de légitime défense pour les forces de l’ordre.