Le dernier rapport de l’Insee Occitanie, publié ce 26 juin 2025, dresse un constat implacable : la région Occitanie, dirigée par la gauche depuis des décennies, est l’un des pires élèves de France en matière d’emploi, de cohésion sociale et de dynamisme économique.
Avec un taux de chômage de 12,1 %, les Pyrénées-Orientales décrochent quant à elles un triste record : celui du plus fort taux de chômage de toute la France métropolitaine. Ce chiffre, bien au-dessus de la moyenne nationale (7,7 %), illustre l’échec patent des politiques locales menées depuis des années par une majorité socialiste déconnectée des réalités du terrain.
Pire encore, 33 320 personnes étaient inscrites à France Travail en « catégorie A » fin 2024, preuve d’un chômage structurel et non conjoncturel, entretenu par l’inaction, l’absence de vision économique et l’incapacité à créer un écosystème favorable à l’emploi durable.
Ce bilan dramatique est le reflet direct d’une politique économique et sociale d’exécutifs de gauche incapables de répondre aux besoins des habitants, d’attirer les entreprises, de valoriser les compétences locales ou de lutter efficacement contre l’exclusion.
L’Occitanie, dans son ensemble, n’échappe pas à cette dérive. Avec un taux de chômage régional de 8,7 %, elle rivalise avec les Hauts-de-France pour le record national. Cette moyenne masque de fortes disparités : la Lozère, l’Aveyron ou le Gers approchent le plein emploi, tandis que les départements littoraux – Aude, Hérault, Gard et Pyrénées-Orientales – stagnent dans le marasme.
Montpellier, moteur supposé de l’Hérault, ne parvient même plus à absorber la croissance démographique. Résultat : un chômage transitoire devenu chronique.
Les jeunes, premières victimes de l’inaction des exécutifs de gauche, sont les plus durement touchés par la hausse du chômage. La réduction des aides à l’emploi, combinée à une politique d’apprentissage en perte de vitesse, vient aggraver encore leur précarité.
Quant aux deux piliers économiques historiques de la région – l’agriculture et le tourisme -, ils sont en souffrance. Sécheresse, effondrement de la viticulture, manque d’enneigement dans les Pyrénées : les effets du dérèglement climatique sont sous-estimés, mal anticipés et mal gérés.
Face à ce bilan accablant, l’heure n’est plus aux discours idéologiques ou d’autosatisfaction. Il est temps de rompre avec les recettes d’un autre temps. Les habitants des Pyrénées-Orientales, comme ceux de toute l’Occitanie, méritent une politique de rupture, qui mise sur l’attractivité économique, la formation, le soutien aux entreprises, la sécurité et l’adaptation aux défis climatiques.
Le Rassemblement National appelle à un véritable changement de cap, fondé sur la responsabilité, le pragmatisme et l’efficacité, pour redonner à nos territoires la place qu’ils méritent dans la dynamique nationale.